Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 08.djvu/333

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gnements nécessaires pour le grand acte de spoliation que méditait la Famille. Il s’appelait William Marlew et ne donnait ses bonnes, grâces qu’à ceux qui l’appelaient sir William.

Après lui venaient plusieurs employés du gouvernement et un juge.

De l’autre côté de la table se trouvait la partie véritablement militante du conseil de la Famille. Ceux que nous venons de nommer, à l’exception du docteur Moore, payaient plutôt de leur position que de leurs actes, les autres étaient de véritables bandits, agissant, combinant, et servant de tête aux cent mille bras de l’association.

Là nous retrouvons le pauvre aveugle, sir