Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 08.djvu/373

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un terme à son jeûne, mais, nous l’avons dit, Rowley était absorbé dans la lecture attachante de ses chères Récréations toxicologiques.

Le passage qui reliait les deux maisons voisines aboutissait, par un court corridor pris sur la chambre-prison, au cabinet même du docteur. Ce fut d’abord là qu’entrèrent les fugitifs du no 9.

Susannah n’avait point songé à opposer de résistance, parce qu’elle ignorait qu’on la faisait ainsi passer d’une maison dans l’autre.

À peine entré dans le cabinet du docteur, Tyrrel prit à part madame la duchesse douairière de Gèvres et lui dit :