Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 08.djvu/375

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— La laisserons-nous seule ici ? demanda-t-elle.

— Un tour de clé, Maudlin, un tour de clé, dit l’aveugle en se dirigeant précipitamment vers la porte ; — surtout hâtez-vous… Moi, je vais m’occuper de l’amoureux… Vous entendrez parler de cela, madame la duchesse.

La Française s’approcha de Susannah, qui s’était assise à l’écart.

— Mon cher amour, lui dit-elle, vous avez été bien imprudente… mais, à tout péché miséricorde… Je vais travailler pour vous et pour lui, afin qu’il n’arrive point de mal de tout ceci… Adieu ! mon cher amour.

Avant de sortir, elle se ravisa.