Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 08.djvu/56

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se redressa au souffle intérieur de son énergie native. Son cœur battit. Elle se leva, voulant sonder jusqu’au fond sa détresse, et faire, autant que possible, l’inspection de sa tombe.

Au bout de trois ou quatre pas, sa main tendue rencontra un obstacle. C’était une barrière d’une singulière espèce, cédant sous la pression de la main, mais cédant jusqu’à un certain point seulement, au delà duquel se trouvait une inébranlable clôture. On eût dit une muraille rembourrée, matelassée du sol au plafond.

Clary changea de route. Dans cette direction nouvelle, un obstacle absolument pareil lui barra bientôt le passage.