Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/210

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pâle et sur son front des taches violâtres ; — car le marchand était un homme, Fergus. Sa main avait frappé rudement, comme eût pu faire la nôtre…

Fergus, dominé par l’intérêt puissant qu’il portait à ce récit, respira longuement.

— Que Dieu le bénisse, Mac-Fariane, dit-il, quel qu’il soit… Et si c’est vraiment le cadet de Lancester, je fais serment de lui payer notre dette quelque jour… Mais que devint Mary après cela ?

— Après cela, répondit Angus, la foule s’ouvrit pour laisser passer le marchand et son fardeau ; puis elle se referma, entourant White-Manor, dont le visage meurtri se contractait