Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/259

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— vous serez hors la loi et vous serez l’organe de la loi… Et ici, et là, dévoué, prêt à tout !…

Angus passa sa main sur son front baigné de sueur.

— Avez-vous vu mes filles, Fergus ? demanda-t-il avec égarement : — elles seront bien belles et je les veux bien pures… Anna et Clary ! mes deux chers amours ! mais elles ne sauront point que leur père est un criminel, n’est-ce pas ?

— Peut-être !… murmura Fergus qui devint pâle à son tour. — Frère, oh ! frère !… ma destinée me pousse !… Pardon si je vous ai tenté !… Refusez, refusez !