Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/283

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ici perclus… Dans le souterrain, je me suis orienté à l’aide de mes souvenirs, ravivés par le bruit lointain du torrent de Blackflood, et j’ai mis enfin le pied sur la première marche de l’escalier qui conduit à la maison de Randal.

De ce côté, notre secret n’est pas si bien gardé, O’Breane.

J’ai trouvé ouvert le pan de muraille qui masque l’entrée en dehors, et je n’ai point eu la peine de le faire virer sur son axe massif.

J’ai poussé une porte. — J’étais dans la chambre où je voulais dire une prière pour le repos éternel du vieux Grahame. Mais celle chambre était habitée. — Mac-