Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/305

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amours, toutes les admirations, pour devenir l’idole de la gigantesque cité…

Mais le vieil Homère, dans sa divine sagesse, ne nous montre-t-il pas les sujets de Priam prosternés autour du cheval de bois dont les flancs perfides recelaient la ruine d’Ilion ?