Page:Féval - Les Mystères de Londres Tome 10.djvu/396

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laird, et il nous faut des hommes dévoués et sûrs.

— Alors, reprit Stephen, suivez-moi, mon oncle. Ces préparatifs ne peuvent se faire dans la maison de ma mère, qui souffre et a besoin de repos.

Ils descendirent ensemble l’escalier, et la vieille Betty s’étonna fort en voyant sortir avec Stephen un personnage à figure étrange et à coup sûr effrayante, auquel elle n’avait point ouvert la porte de la rue, car le laird était entré inaperçu dans la maison de sa sœur, sur les pas du valet de Frank.

Stephen appela un cab. Une demi-heure