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Page:Fargèze - Mémoires amoureux, 1980.djvu/131

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Je m’endormis, rêvant du boulevard et des Parisiennes. Paris ! Paris ! Hélas ! Au petit jour, Buizard nous réveillait, interrompant mon rêve. Dès six heures nous roulions dans le train qui nous ramenait à Dijon, et rompus de fatigue, nous nous retrouvions à Saint-Brice à la tombée de la nuit.