Page:Fauche - Le Mahâbhârata, tome 1.djvu/86

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Marout, l’acquisition de trésors comblés d’or, la naissance de Pârîkshit et sa résurrection par Krishna, après qu’il eut péri, consumé par le feu du trait ; 602-603.

La marche du Pândouide Arjouna à la suite du cheval, mis en pleine liberté dans l’observance des rites ; les combats, qu’il soutient çà et là contre les fils irrités des rois ; 604.

La rencontre d’Arjouna avec le fils de Tchitrângadâ la poutrikâ et son fils à lui-même ; le danger, au milieu du quel Vabhrouvâhana le jette dans un combat ; 605.

Et l’épisode de Nakoula dans le grand sacrifice de l’Açvamédha. C’est ici que finit cet Açwa-médhika aux grandes merveilles. 606.

L’ascète, contemplateur de la vérité absolue, a récité là cent trois chapitres, contenant un nombre de trois mille trois cent vingt çlokas. 607.

Ensuite vient le quinzième chant, nommé l’Açramavâsa-parva, c’est-à-dire, le chapitre de l’habitation dans un hermitage, où le roi Dhritarâshtra quitte son royaume et se retire, accompagné de Gândhârî et de Vidoura, dans un lieu d’hermitage. 608.

L’ayant vu partir, la vertueuse Prithâ le suivit alors, abandonnant le royaume de son fils, elle, qui mettait son plaisir dans l’obéissance à son guide spirituel. 609.

Là, ce roi vit les héros, ses fils et petit-fils, et les autres princes, qui avaient succombé sur les champs de bataille, revenus dans ce monde, d’où ils avaient disparu. 610.

Quand il eut vu, grâce à Krishna-Vyâsa, le rishi, cette merveille sublime, il déposa le chagrin et parvint avec son épouse à la plus haute perfection. 611.