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à la veillée.
M. Nicol, vous viendrez, n’est-ce pas ? car si l’on me laisse tout seul, ça prendra plus de temps. Allons, à ce soir, messieurs ; j’ai l’honneur de me mettre en route.
Il partit, se dandinant, sa cruche sous le bras, comme un officier anglais qui porte son sabre, et voilà comme ce soir-là on aurait dit à celui qui serait venu me voir que je veillais en joyeuse compagnie chez mon nouvel ami, monsieur Jérôme Tanguay.