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chap. xxiv. — nouvelles d’allemagne.

de cornes et foulés aux pieds du terrible animal. Il est rare dans ces cas que l’un des deux ne soit pas au moins très-grièvement blessé.

Nous n’eûmes aucun malheur à déplorer et la journée finit aussi gaiement et aussi heureusement qu’elle avait commencé.

Lorsque je quittai la tribu, les guerriers me firent promettre de revenir les voir. Cette promesse, je la leur fis de bon cœur et j’étais sûr de pouvoir la remplir, mes affaires m’amenant souvent dans ces contrées. Effectivement je leur rendis visite encore deux fois.