Page:Ferdinand Buisson - Sébastien Castellion - Tome 1.djvu/446

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428 APPENDICE. Bmts nr: 1553. B1n1.1s ms CASTÀLIOX. sa iustice, pour la remission des montrer la iustice de Dieu e11 ce pechez precedents (Rom., III, 25). qu’il et si bening qu’il a pardonne les peches passes. Et n’est pas ainsi du don comme IE n’et pas ainsi du don comme de de la mort qui est venue ]`•ill` un qui ce·qui et auenu par un qui pécha. a peehe : ear le iugement est d’un Car un fut cause qu’il s’ensuivit · forfaict en condemnation : mais le _iugement, e par consequcnt conden1- don est de plusieurs forfaicts a ius- nacion : mais la grace a amene asso- tilîcation (Rom., V, 16). lucion de beaucoup de forfaits. Il n’y a que diminuer ni qu’ajou- On ne sauraitamoindrir ni accroî- ter, et n’est possible de trouuer tre, non pas même SOI1(iCl' les n1e1·- . quelles sont les merueilles du Sei- veilles du Seigneur. Que si un homme gneur. Quand l'homme aura acheue, se met apres, quand il aura acheue, alors il commencera, et q11and il se ce sera lors qu’il lui faudra commen- reposera ne saura ou il en sera CCl`,C(IUî1I1(i il auracesse,ceseralors (Ecclèsiastiq., XVIII, 4). qu’il doutera. Toute iniquite est comme une Toute mechancete et comme un’ espee trauchante a deux costcz, et epeea deux taillans qui faituueplaye n’y a point de garison âx sa playe irrémédiable. (Ecclesiastiq., XXI, 2). · 'I`11 n’es pas la plus petite entre les Tu ll’€S pas la moindre des bail- princes deI11da (Matth., II, 6). liages de Iuclee. (Reste.) La IllOl'i» est paruenue su1· tous les La mort a saisi tous les l101n111es. l1om111es (Ro111., V, 12). —15SS,idcm. Si a11cuns n’ont point cru, le11r Si aucuns ont mecreu, leur me- incredulite abolira-t-elle la foy de croyance abolira·t-elle la feaute de Dieu.? (Rom., Ill, 3.) Dieu? · On dit 1nal de nous et nous disons On 11ous outrage et nous benis- bien (I Cor., IV, I2). Revision de sous. (Reste.) 1560 adopte : nous benissons. Freres,que chacun demeure envers Que chac11n demeure, quant a Dieu en ee en quov il est appelle (II I)ieu, freres, en l’etat ou il a cte ap- Cor., VII, 24). Revision de 1560, idem; pelle. (Reste.) ' 1588 : se tienne, etc. Ne soyez point seduicts (I Cor., Ne vous abuses point. (Reste.) XV, 33), 1560 et 1588, id. Cestuy ici ne iecte les diables, Les Pharisiens dirent qu’il ne sinon de par Beelzebub (Matth., XII, chassoit les diables que de part Beel· 24). —— Rcvisious de 1560 et 1588, id. zebub. (Reste.) Car ce q11i est fol de Die11, estplus Car la folie de Dieu et plus sage sage que les l1o1nmes, et ce qui est que les hommes, e la faiblesse de foihle de Dieu, est plus fort que les Dieu et plus forte que les hommes. hommes (I Cor., I, 25). — 1560 et 1588, idem. (Reste.) Je suis charnel, vendu souhs peche Asserui dessous peche. · (Rom., VII, ·I4). Ce n’est point du veuillant, ne du Parquoi cela ne gît point au vou- c0urant, mais de l)ieu q11i fait mi- loir ni au courir, mais en Dieu q11i Sericorde (Rom., IX, 16). Revision de fait grace. 1588 : du voulant, etc. ' Soyez hayssanslemalavous adioin— Ilaysses le mal : tenes vous au gnans au bien, enclins par charite bien,enclins par amour frate1·uelle a fraternelle a aime1· l’vn l'autre... Par- vous aimer l’u11 l’a11tre .... Benisses lez bien de ce11x qui vous perse- ·ceux qui vous persecuteut. cutent (Rom., XII, 6,10,14). Revision de 1560 : benissez. ·