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Berthe.

Et ton amour ?

Finette.

Il m’a conduite ici, mon amour. Quand verrai-je Apollon maintenant ?

Rose.

Comment t’appelles-tu ?

Finette, grincheuse.

Finette.

Rose.

Comme elle a l’air grincheux.

Alice.

Tu verras, tu seras très bien ici ! Et puis si tu as à écrire à ton Apollon, tu peux ! On fait mettre les lettres à la poste par les externes.

Sophie, très importante.

Alors il paraît qu’il y a une nouvelle. Arrive ici, toi, qu’on te voie.

Finette.

C’est à moi qu’elle parle comme ça ?

Alice.

Oui, mais ne dis rien, parce que c’est Sophie l’intombable ! Elle n’est pas commode.

Finette.

Ah ! bien, c’est ça qui m’est égal.

Sophie.

Eh bien ! dis donc, la nouvelle, tu n’entends donc pas quand on te parle ?

Finette.

Qu’est-ce qui vous faut, à vous ?

Sophie.

D’abord, il me faudra changer ce ton-là !… Arrive ici, tu sais, c’est pas aux nouvelles à faire les malignes, je te prends, moi.

Finette.

Comment ça ?