Page:Firmin - De l’égalité des races humaines.djvu/499

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« La variété mélanienne est la plus humble, et gît au bas de l’échelle. Le caractère d’animalité empreint dans la forme de son bassin lui impose sa destinée, dès l’instant de la conception. Elle ne sortira jamais du cercle intellectuel le plus restreint. » (de Gobineau, De l’inégalité des races humaines).


« Par là que le Nègre appartient au genre humain, l’esclavage est irrationnel et illégitime. Mais il ne suit nullement de là que la race nègre soit égale à la race blanche et que, comme telle, doive être admise avec elle au partage des mêmes droits et à l’exercice des mêmes fonctions, ou qu’elle ait la même importance et puisse jouer le même rôle dans l’histoire. » (Dr  Vera, note de la Philosophie de l’esprit de Hegel).


« L’ensemble des conditions qui a fait les races a eu pour résultat d’établir entre elles une inégalité actuelle qu’il est impossible de nier. Telle est pourtant l’exagération dans laquelle sont tombés les négrophiles de profession, lorsqu’ils ont soutenu que le Nègre dans le passé et tel qu’il est est l’égal du blanc…

« Or, tant qu’il existera des pôles et un équateur, des continents et des îles, des montagnes et des plaines, il subsistera des races distinguées par des caractères de toute nature, des races supérieures et des races inférieures au point de vue intellectuel et moral. En dépit des croisements, la variété, l’inégalité persisteront sur la terre. » (De Quatrefages, L’espèce humaine).


« Les hommes ne sont pas égaux, les races ne sont pas égales. Le Nègre, par exemple, est fait pour servir aux grandes choses voulues et conçues par le blanc. » (Ernest Renan, Dialogues philosophiques).