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CORRESPONDANCE

affreuses migraines ! Luchon n’a donc servi à rien ?

Je t’embrasse bien fort.

Ton vieil oncle.

Joie de Mlle Julie en apprenant que sa Caroline va venir. Je ne dis rien de la mienne (joie).


1333. À SA NIÈCE CAROLINE.
Croisset, samedi soir, 5 heures [28 septembre 1872].
Mon Loulou,

Tu sais bien que j’obéis à tes moindres commandements. Donc demain dimanche, j’arriverai à Dieppe (par le train express de l’après-midi) pour en repartir mardi.

Je t’embrasse en signant de mon vrai nom qui est

Vache.

1334. À MADAME ROGER DES GENETTES.
Croisset, samedi 5 [octobre 1872].

Oh ! non ! Je vous en prie, retardez votre séjour à Paris d’une quinzaine, parce que je ne pourrai m’absenter d’ici dans la seconde moitié de novembre. Il me sera impossible d’être à Paris avant le 1er décembre. Qui vous presse de retourner dans l’affreux Villenauxe ? Quel sacer-