Page:Fonson, Wicheler - Le Mariage de mademoiselle Beulemans, 1910.djvu/50

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ALBERT

Alors, je vais dire à M. Beulemans que mon père, voulant donner plus d’extension à ses affaires, me rappelle à Paris… Car il vaut mieux, n’est-ce pas, ne froisser personne ?

SUZANNE

Oh ! certainement…

ALBERT

Évidemment…

SUZANNE

Et puis comme ça, n’est-ce pas, vous pourrez prendre tout votre temps et ne pas laisser les écritures en arrière…

ALBERT

Oui… Trois ou quatre…

SUZANNE

Mois…

ALBERT

Non, jours…

SUZANNE

Si vite ?

ALBERT

Oui.