Page:Fougeret de Monbron - La Capitale des Gaules.djvu/48

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qui dégoûte du travail & distrait le peuple de ses occupations, que tout ce qui nourrit & flatte son oisiveté, ne sauroit être bon. Il est aussi très-certain que la Comédie & tous les spectacles frivoles ne sont propres qu’à plonger dans la mollesse, qu’à inspirer du goût pour les plaisirs & donner de l’aversion pour le travail : il est donc évident que ces sortes d’amusemens sont de la plus dangereuse conséquence, & qu’en bonne police on devroit les défendre.