Page:Fougeret de Monbron - La Capitale des Gaules.djvu/65

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

le remède, je crois, seroit pire que le mal, & ce seroit jetter de l’huile dans le feu pour l’éteindre. Comme il n’est point d’animaux, (les Dévots à part,) plus orgueilleux que les Financiers & les nouveaux parvenus, on ne doit pas s’attendre qu’ils soient gens à rien retrancher de leur train, quelque taxe qu’on leur impose. Établissez des Chambres de Justice pour les faire dégorger, pressez-les comme des éponges, ils n’en seront que plus ardens au pillage,