Page:Fourest - La Négresse blonde, 1909.djvu/90

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Des vers ! des vers ! et c’est pourquoi
Si tu veux qu’on te laisse coi
Siroter près d’une crédence
Ton vieux Beaune sache qu’il faut,
Sans rémission ni défaut
Épistoler et d’abondance !…

Et puis, t’ayant serré la main,
Je vais ronfler jusqu’à demain :
Le ciel, en son omnipotence,
Nous inspirant maint beau sonnet
Toujours nous préserve d’Ohnet,
De la grippe et de la potence !