Page:Fréchette - Poésies choisies, I, 1908.djvu/287

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Il aura beau hausser encor plus les épaules,
Il le devra toujours à ces fous, à ces drôles !

Oui, mes enfants, j’étais un patriote, un vrai ;
Et jusques à la mort, je m’en applaudirai !