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Page:Franc-Nohain - Les Chansons des trains et des gares, 1900.djvu/113

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LE REMÈDE INATTENDU


        Dans le bosquet la jeune Elvire
Faisait retentir l’air de ses cris déchirants :
        Ah ! disait-elle, un tel martyre !…
                Mieux vaut mourir :
        Adieu ! adieu ! mes chers parents ! —

La jeune Elvire avait une rage de dents.

Souffrait-elle des conséquences d’un coup d’air ?
Voulut-elle briser la coque d’un fruit vert ?
        Ou bien, ce sont des hypothèses,
                Était-ce,