Page:Franc-Nohain - Les Chansons des trains et des gares, 1900.djvu/175

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Spontanément, sa tête à nouveau se balance…

         — Est-ce nerveux, interrogé-je,
Ou, habitué au mouvement, aurais-tu donc
         Une crampe dans la trompe ?
                      — Tu te trompes,
Répondit-il ; — malgré ma fatigue, n’empêche
         Que je connais les usages du monde ;
Regarde à la portière, ami, et rends-toi compte : —

Un convoi déroulait son funèbre cortège.