Page:Franc-Nohain - Les Chansons des trains et des gares, 1900.djvu/189

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LE BUVEUR IMPRÉVOYANT


    Les voilà bien les suites de l’orgie,
                    L’orgie romaine !
        Et le malheureux geint et gît,
        (À peine a-t-il figure humaine).
        Il geint et gît le triste J. ;
        — L’initiale du nom suffit.
                    Car inutile
        De compromettre la famille ; —
        Il geint et gît le triste J. ;
Regarde, cher enfant, regarde et réfléchis :
        Les voilà bien les suites de l’orgie.
                    C’est là que mène
L’usage inconsidéré de ces boissons américaines.