Page:Franc-Nohain - Les Chansons des trains et des gares, 1900.djvu/190

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        Oh ! l’horrible cercle de fer
        Qui casque son front et l’enserre !
        Le bourdonnement des oreilles
                Pareil
        Au sourd lamento de la mer, —
        Ses oreilles, ruches d’abeilles, —

                Oh ! la forêt
                De son palais !

    Mais c’est surtout le bruit de ces voitures
Qui, dans la rue, passent sans trêve, passent toujours :
    — En certains cas, mieux vaut, bien sûr,
Avoir un tranquille petit appartement donnant sur
                        La cour ; —

        Et les voitures roulent toujours,
        Roulent, roulent, comme en sa tête,
        Roulent, roulent sous les fenêtres
        (C’est un quartier très passager),
        Les voitures des maraîchers,
        Et du Louvre, et du Bon Marché,
        Et de la Samaritaine (peut-être),
        Les fiacres, les coupés de maître,