Page:Franc-Nohain - Les Chansons des trains et des gares, 1900.djvu/40

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Ces tristes lieux me forcent à revoir ;
Chaque wagon m’est un nouveau supplice,
Je viens pourtant, esclave du devoir.
Mais pour cacher le trouble de mon âme,
Pour échapper au spectacle odieux
Des compagnons du séducteur infâme,
Quand passe un train, je détourne les yeux…
                    Ensemble :
Quand le train passe il détourne les yeux.