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AVERTISSEMENT
POUR LA DEUXIÈME PARTIE


Le lecteur qui, après avoir parcouru les pièces qui précèdent, voudra jeter un regard bienveillant sur celles qui vont suivre, sera assurément frappé du manque absolu de suite qui se plaît à exister entre la seconde partie de cet ouvrage et la première.

C’est exprès.

En les réunissant sous ce même titre, ainsi avons-nous voulu marquer la puissance des trains et des gares, dont le seul lien suffit à coordonner en notre pensée des poèmes aussi dissemblables.

Et puis, ne nous sommes-nous jamais réjouis d’un compagnon de voyage, aimable conteur d’anecdotes ? — on en est quitte pour oublier les anecdotes, et, si l’on retrouve le conteur, on monte dans un autre compartiment.