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TABLE DES CHAPITRES.

Chap. lxxxii. — Comment le roi de Portingal et le duc de Lancastre assemblèrent leurs puissances ensemble ; et comment, ne pouvant passer la rivière de Deure, un écuyer de Galice, prisonnier de guerre, leur enseigna le gué.
627
Chap. lxxxiii. — Comment Gautier de Passac et Guillaume de Lignac, chefs des François en Castille, conseillèrent au roi d’attendre le duc de Bourbon, sans s’aventurer à la bataille ; et comment aucuns Anglois allèrent escarmoucher aux François de Ville-Arpent ; et comment le duc de Lancastre commença à se décourager, pour les mésaises de lui et de ses gens.
630
Chap. lxxxiv. — Comment le duc de Lancastre donna congé à ses gens ; et comment trois chevaliers d’Angleterre, ayant impétré sauf conduit par un héraut, allèrent vers le roi de Castille pour impétrer un sauf conduit pour passer leurs gens par sa terre.
633
Chap. lxxxv. — Comment trois ambassadeurs de par le duc de Lancastre impétrèrent un sauf conduit du roi de Castille, pour passer leurs malades en ses pays, et passer sûrement ceux qui s’en retourneroient hors d’Espagne ; et comment plusieurs chevaliers et écuyers d’Angleterre moururent un Castille et ès pays des Espaignes, étant le duc de Lancastre même tombé en grande maladie à Saint-Jacques en Galice.
635
Chap. lxxxvi. — Comment messire Jean de Hollande, connétable du duc de Lancastre, prit congé de lui, s’en retournant atout sa femme, par Castille et par Navarre, à Bayonne et à Bordeaux ; et comment messire Jean d’Aubrecicourt alla à Paris, pour vouloir accomplir un fait d’armes contre Boucicaut.
638
Chap. lxxxvii. — Comment le duc de Bourbon, étant parti d’Avignon avec son ost, s’en alla trouver le roi de Castille à Burges ; comment le duc de Lancastre en étant averti, se pourvut du roi de Portingal ; et comment le duc de Bourbon, après plusieurs conjouissemens, eût congé du roi de Castille et s’en retourna droit en France.
640
Chap. lxxxviii. — Comment le comte de Foix reçut honorablement le duc de Bourbon, et des beaux dons qu’il lui fit ; et comment les gens messire Guillaume de Lignac et messire Gautier de Passac saccagèrent la ville de Saint-Phagon, en partant d’Espaigne, dont le roi d’Espaigne montra courroux à ces deux capitaines qui étoient encore près de lui.
642
Chap. lxxxix. — Comment le duc de Lancastre, étant parti de Saint-Jacques et de Connimbres en Portingal, arriva par mer à Bayonne.
644
Chap. xc. — Comment le comte d’Ermignac mit grand’peine de traiter aux compagnons, pour leur faire rendre leurs forts, en leur délivrant argent ; et comment le comte de Foix l’en empêcha secrètement.
645
Chap. xci. — Comment se mut le premier content et mautalent entre les ducs de Brabant et de Guerles, et comment le comte Regnault de Guerles fut conseillé de se marier à la fille de Bertaut de Malignes, et la réponse que le dit Bertaut fist aux messagers dudit comte.
648
Chap. xcii. — Comment le comte Regnault de Guerles fut marié à la fille Bertaut de Malignes dont il ot une fille, et depuis se remaria en Angleterre, et en ot deux fils et une fille, et comment messire Jean de Blois, épousa l’ains-née fille, et comment la duché demeura en la mains-née fille dudit comte Regnault.
651
Chap. xciii. — Comment les châteaux de Gaugelch, Buch et Mille vindrent au duché de Brabant, et comment le duc de Julliers soutenoit les Linfars en son pays qui déroboient toutes manières de gens, et du grand mandement que le duc de Brabant fit pour aller en Julliers.
653
Chap. xciv. — Comment le duc de Brabant mourut ; et comment le duc Guillaume de Guerles voulut traiter à la duchesse de Brabant pour ravoir les châteaux de Gaugelch, Buch, et Mille, et de la réponse que la duchesse en fit ; et comment le duc Guillaume fit alliance au roi d’Angleterre et aux Anglois.
658
Chap. xcv. — Comment la duchesse de Brabant envoya ses messagers devers le roi de France pour lui remontrer ses besognes, et comment le roi et son conseil étoient ensonniés sur les incidens qui étoient au royaume, tant du défiement du duc de Guerles comme des besognes de Prague, et de la réponse que on fit aux ambassadeurs de Brabant.
661
Chap. xcvi. — Comment le corps saint du cardinal Pierre de Luxembourg fesoit merveilles de miracles en Avignon ; comment par grand accident le roi de Navarre mourut en la cité de Pampelune, et comment monseigneur Charles son fils ains-né fut couronné.
662
Chap. xcvii. — Comment le duc de Berry fit assiéger la forteresse de Ventadour.
664
Chap. xcviii. — Comment le duc de Bourgogne envoya quatre cens lances à la duchesse de Brabant ; et comment ils surprirent et brûlèrent la ville de Straulle en Guerles.
665
Chap. xcix. — Comment Geronnet de Ladurant l’un des capitaines de Perrot le Bernois, ayant été prisonnier de Jean Bonne-Lance à Montferrant en Auvergne, trouva façon, après sa rançon payée, de mettre le Bernois dedans icelle ville de Montferrant.
667
Chap. c. — Comment Perrot le Bernois et ses compagnons eurent conseil de non tenir la ville de Montferrant.
674
Chap. ci. — Comment Perrot le Bernois et les compagnons, ayant pillé Montferrant, l’abandonnèrent et se retirèrent en leurs forts ; et de la réponse qu’il fit au comte Dauphin d’Auvergne, se plaignant de ce qu’il avoit emblé cette ville là, pendant les traités.
676
Chap. cii. — Comment le duc de Berry fit les noces de sa fille Marie avec Louis de Blois, et son fils Jean de Berry avec Marie de France ; et comment elle mourut assez tôt après, et madame Jeanne d’Ermignac, duchesse de Berry, semblablement.
677
Chap. ciii. — Comment, étant le conseil de France en délibération d’aller contre le duc de Guerles qui avoit outrageusement défié le roi, le duc de Berry envoya le comte d’Estampes vers le duc de Bretagne, pour tâcher premièrement à le regagner au parti de France, après s’en être presque ouvertement étrangé par la prise du connétable de Cliçon.
678
Chap. civ. — Comment, après le département, que le duc de Lancastre fit de Gallice en Portingal, les Espaignols et les François reconquirent, en peu de temps, le pays de Gallice : et comment les Anglois, qui avoient été à la guerre de Gallice, avec le duc de Lancastre, diffamoient en le pays de Castille et de Gallice en leur pays ; et comment le duc d’Irlande qui s’étoit retiré d’Angleterre fut envoyé quérir par le roi de France et son conseil.
681
Chap. cv. — Comment le conseil de France ne se pouvoit accorder qu’on menât le roi en Allemagne, pour les incidences du royaume : et comment le duc de Bretagne faisoit ses garnisons en son pays, et alliances aux Anglois et au jeune roi de Navarre ; et de l’armée que les Anglois mirent sur la mer.
684
Chap. cvi. — Comment les Brabançons mirent le siége devant la ville