d’un engagement reçu par la municipalité et signé par les taverniers qui se présentaient à cet effet à l’assemblée communale le premier jour de l’an.
Pour l’année 1686, le droit de tenir cabaret fut adjugé à 7 habitants dont voici les noms :
Viry. – T. Gley. – Pierre. – Michel. – Tisserand. – Ferry. – N. Gley.
En 1712 il y avait 14 cabaretiers ; il y en avait 17 en 1734 ; 15 en 1756 et 13 en 1789.
Voies de communication
Routes et chemins
La situation topographique de Gérardmer explique la difficulté de la création et de l’entretien des routes ; cependant les habitants du pays songèrent de bonne heure à faciliter leurs relations avec les lieux voisins.
D’après L. Bexon, il y avait à Gérardmer, en 1778, les chemins suivants, dont les longueurs en toises sont comptées depuis l’église :
# Route de Bruyères à Nancy (par Granges, 3.543 toises, 5 ponts) ;
- Route de La Bresse (3.409 toises, 5 ponts, simple sentier très mauvais à partir de Creuse-Goutte) ;
- Route de Saint-Diez (par le Pont-des-Fées, Martimprey, 3.139 toises, 2 ponts) ;
- Route d’Alsace (par Le Valtin, 3.458 toises, 4 ponts) ;
- Route de Remiremont (par la voie de Vagney, 2.505 toises et 2 ponts) ;
- Route de Champdray (par Les Xettes, 2.395 toises).
Une ordonnance du roi de 1786 ayant décidé, pour trois