Page:Góngora - Vingt-quatre Sonnets.djvu/45

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Ses pétales en poussière, oui, mais non pas son parfum, l’Andalousie natale les pleure, ses beaux pétales que, même en poussière, dore le reflet du Tage maternel.

Et dans la campagne renouvelée, elle est aujourd’hui de ces fleurs qu’illumine une autre aurore meilleure dont les gouttes de l’éphémère rosée sont les étoiles.