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Page:Garnier - Les tragedies de Robert Garnier - 1605.djvu/253

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HIPPOLYTE -TRAGEDIE, Ji UBSSEIGKE/R^S D£ Vsjtmbomllet , C Oftrc France a Je tout temps pro* ’ ^ù^i/fl ? duit vnc belle Noblefle & valeu- ^Û^^^^^j ? rcufc pour le fciuicc de ion Roy : ^^^tMïx & encores ennourrift voe^nceft lîcurwuxficcle, qui furpafTe auûnrageufemcnt l’honneuiç dc Xcs deuanciers. Si elVce qu’en rabonJanccd’vnc fi vercueufenouriiturcjcllc ccfe peut vanter d vne plus genereuferacc&. de plus digne reçommandacion à la poUerité, qu<e x vollre^ McfTeigneurs.qui, outre le rang que vous tenez , perpétué dWncprcfquc cter* •pélle fuixe de nobles anccftres^ rai tes tantrc- . luir^ de vertus en vous^quc les moindres don- ^pem plus d’admiration^que d^efperancc d’imi* cation, le m’ctforceroy de les chanter au iTi volontiers qu’elles font dignes de paiPer iufques a vos i^pijieux : û ie ncdou :ov que monaffedioa trop ar<kme entrai en folle prelômptiort/ttCii "Combant : fous le faix dVnc li digne fin et. le ne fçay (âc me pardonne la France) s’il fc trouuc» fa encores matfon de voftre q[^dalité,où les iet» très s’appareillent fi bien au lan^Iant exercice deM irs,& ovl la generoficé b* vn braue & mag^ nanimc cocar re^oxu c en telle cuncoidaïKC It Oigitized by