Page:Gautier - La Conquête du paradis.djvu/181

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La brise qui les poussait porta alors jusqu’à eux, chanté par toute une armée, le refrain narquois qui avait tant agacé l’amiral et les soldats, pendant ces cinq semaines de siège :


Marlbrough s’en va-t’en guerre.
Mironton tonton, mirontaine !…