Page:Gautier - Lucienne, Calmann Lévy, 1877.djvu/352

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lard son visage baigné de larmes, les morts sont délivrés ; plaignez les vivants.

Le marin appuya son front sur la main glacée de Lucienne.

— Vous avez raison, dit-il, les vivants sont seuls à plaindre.

Et sa pensée courut vers Stéphane errant sur la mer et à jamais désespéré.