Page:Gautier - Mémoires d'un Éléphant blanc, Armand Colin et Cie, 1894.djvu/158

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que, dans mon enfance, quand j’habitais encore au pays de Siam la forêt natale, ma couleur blanche, à qui j’avais dû depuis ma fortune parmi les hommes, m’avait fait mal voir, même par mes compagnons de harde. Que serait-ce donc pour des étrangers, même moins farouches que ceux que je venais de rencontrer ! Toujours les éléphants me chasseraient d’auprès d’eux.