Page:Gautier - Une larme du diable.djvu/78

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

un peu plus de retenue dans nos caresses nous allons nous casser en cent quatre-vingt-dix-neuf morceaux au moins.

LE POT.

Je crois en vérité que je suis fêlé ! Tu viens de me cogner si rudement avec une de tes facettes de cristal que j’en suis tout étourdi.

L’ARMOIRE.

À vos places, messieurs et dames ! que tout rentre dans l’ordre ; j’entends nos maîtresses monter.