Page:Gavarni - Grandville - Le Diable à Paris, tome 1.djvu/47

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3o d’un superbe tambour-major dominant son régiment comme un peuplier qui aurait poussé au milieu d’un champ de blé


(nous oserons dire en passant qu’en faisant le portrait d’un aussi bel homme, Flammèche crut avoir fait celui d’un généralissime) ; 4o de Paris le matin quand il appartient encore exclusivement aux cuisinières,