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CHAPITRE XI

L’Épreuve.


i les tempêtes, qui déchiraient mes voiles, ni l’eau qui entrait dans la cabine, ni la pluie d’écume qui me fouettait constamment ne pouvaient apaiser mon amour de la mer. Un marin qui traverse seul l’océan doit s’attendre à de durs moments. Les anciens mariniers, qui faisaient le tour du cap Horn, devaient combattre cons-