et essayaient de remorquer le Firecrest. En vain, je leur criai que je ne désirais pas d’aide pour atteindre New-York. Finalement, je fus obligé de couper l’amarre avec un couteau. Mais maintenant, avec l’élan, mon gouvernail put avoir de l’action, et je parvins à m’écarter du vapeur.
Je croyais être tranquille, mais je découvris qu’ils mettaient une embarcation à la mer ; je mis mon navire en panne et attendis. Deux jeunes officiers grecs, couverts d’or comme des généraux sud-américains, s’approchèrent ; ils étaient très effrayés de monter à bord avec la houle assez forte, mais, finalement, prirent leur élan et roulèrent à mes pieds.
L’un d’eux me demanda pourquoi je ne gouvernais pas quand le Firecrest était contre le vapeur et me dit qu’un