Page:Gille - La Cithare.djvu/78

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Ma gorge se dessèche, et j’espère et je crains ;
Une étrange langueur se glisse dans mes reins.
Je tremble ; un feu subtil pénètre dans mes veines,
Et mes membres brisés semblent chargés de chaînes.