Page:Glatigny - Œuvres, Lemerre.djvu/410

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Épilogue. 551 Et quand j’atteindrai le bout de la voie. Enivré d’espace et plein d’univers, Je mourrai, le cœur débordant de joie, Murmurant encore une fin de vers. Ostende, mai 1866. XLIII Épilogue. Louange h Dieu ! Je peux croiser les bras. Mon livre Appartient maintenant h la Postérité, Qu’ils s’arrangent tous deux ! Quant h moi, je me livre Au charme du Rien faire avec sérénité, mes vers / On dira que j’imite Banville, On aura bien raison si l’on ajoute encor Que je Pat copié dune façon servile, Que j’ai perdu P haleine à souffler dans son cor. Ce reproche est amer, mais ne me fend point Pâme, Je ne sens nul remords et dors tranquillement, Et si Zola, pareil à Pet-de-Loup, me blâme, Je répondrai : « Je n’ai pas de tempérament ! *