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- de fond en comble, détruire entièrement.
- 1. parable, adj., qu’on peut arranger.
- 2. parable, adj., qui paraît, visible.
- 3. parable, s. f., parabole ‖ T. de rhét., le style.
- 1. parabolain, s. m., celui qui use de paraboles ‖ hâbleur.
- 2. * parabolain, s. m., garde-malade.
- parabole, s. f., sujet de récits malins ‖ mensonge, feinte ‖ parole.
- paraboleusement, adv., en paraboles.
- paracelle, s. f., sorte d’herbe, l’abrus precatorius.
- parachef, s. m., parachèvement.
- parachevable, adj., qui peut être parachevé.
- paracheveur, s. m., celui qui parachève.
- paraclin, s. m., le Paraclet, le Saint-Esprit.
- paracompaignier, v. a., escorter.
- paracomplir, v. a., accomplir entièrement, parachever.
- paracorer, v. a., percer le coeur à, tuer.
- paradiset, s. m., petit paradis.
- paradmirable, adj., très admirable.
- paradouse, s. m., paradis.
- paradoxe, adj., paradoxal, au-dessus de ce qu’on peut croire, extraordinaire.
- paradoxement, adj., paradoxalement.
- paradvisé, adj., bien avisé.
- parafaitié, p. pas., muni, doué, habile.
- parafe, s. m., paragraphe.
- parafermer, v. a., affermir complètement.
- parafoler, v. a., battre à coups redoublés, couvrir de blessures ou de plaies, maltraiter.
- parafrenasie, s. f., commencement de frénésie.
- 1. parage, s. m., famille, parenté ‖ noble naissance ‖ à Metz, associations aristocratiques qui détinrent tout le pouvoir administratif et politique de la cité, depuis l’origine de la Commune messine jusqu’à sa fin, sauf durant la révolution démagogique amenée par la guerre en 1325 et en 1405 ‖ égalité de noblesse ‖ droit en vertu duquel une petite partie du fief était possédée par les puînés sans payer de redevance ‖ pair.
- 2. parage, s. m., parure, ornement, ornementation.
- 3. parage, s. m., terrain entouré de palissades et de murs où l’on remise la houille en attendant qu’elle soit vendue.
- parageau, s. m., puîné qui tient un fief en parage.
- paragencier, v. a., agencer complètement.
