Page:Godwin - Vie et mémoires de Marie Wollstonecraft Godwin.djvu/23

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de peu de fidélité dans la traduction. Évitant avec soin d’être obscurs, nous nous sommes pénétrés des propres sentiments de Marie Wollstonecraft, et sympathisant avec cette amante infortunée, nos larmes lui ont payé, plus d’une fois, le tribut d’intérêt et d’admiration qu’elle nous inspirait. La critique la plus amère ne saurait altérer les douces sensations que nous avons alors éprouvées ; puissent-elles être partagées par les cœurs sensibles qui nous liront !