Page:Goethe - Œuvres, trad. Porchat, tome IV.djvu/233

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


Ma paix est perdue, Mon cœur est navré ; Je ne la retrouverai jamais, Jamais, jamais !

Mon sein, qui palpite, S’élance après lui. Ah ! si je pouvais le saisir, Et le garder,

Et le couvrir de baisers, Comme je voudrais…. Sous ses baisers 11 faudrait mourir !

LE