Page:Gottis - Le Jeune Loys, prince des francs ou Malheurs d'une auguste famille, Tome III, 1817.djvu/251

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plier un de ceux qui l’entouraient de partager son pain avec lui. Il le fit à voix basse, retenu par une excessive timidité : « Demandez tout haut ce que vous voulez, dit cet homme : » — « Je vous demande un morceau de votre pain, » lui répond l’infortuné monarque… Ô Francs ! votre roi, celui que vous avez adoré, demandant un morceau de pain ! La postérité pourra-t-elle le croire ?




FIN DU TOME TROISIÈME.