Page:Gozlan - Les Nuits du Père Lachaise, tome 1, A. Lemerle, 1845.djvu/188

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

loin d’être finie ; le temps, je présume, ne nous manquera pas pour achever mon histoire de lady Glenmour.

— Quelle belle nuit ! dit en suivant le chevalier De Profundis le marquis de Saint-Luc.

— Trop belle pour notre expédition ; il fait clair comme en plein jour ; marchez dans l’ombre de cette allée de platanes ; dans cinq minutes nous serons arrivés à l’endroit d’où vous supposez qu’est parti le bruit…