Page:Grégoire - De la littérature des nègres.djvu/251

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c’est que les peuples et les individus injustement asservis doivent se résigner à leur malheureux sort, quand ils ne peuvent rompre leurs fers.

Gallandat, qui, dans les mémoires de l’académie de Flessingue a publié une instruction sur la traite des esclaves, montre bien peu de jugement en louant l’ouvrage de Capitein[1] sur cet objet.

On a encore de cet africain un petit volume in-4o, de Sermons en langue hollandaise, prêchés dans différentes villes, et imprimés à Amsterdam en 1742[2].

Williams. La notice concernant le poëte nègre, dont on va parler, est tirée en partie de l’Histoire de la Jamaïque, par Édouard Long, qu’on ne soupçonnera pas d’être trop

  1. V. Noodige onderrichtingen voor de staafhandelaaren, t. I. Verhandelingen vitgegeven door het zeeuwsch genootschap, etc., te Middelburg 1769, p. 425.
  2. V. Vit gewrogte predicatien zynde de trowherrige wermaaninge van den apostel der heydenen Paulus, aan zynen zoon Timotheus vit. II Timotheus, II, ℣. 8 ; te Muiderberger, dan 20 mai 1742,