Page:Grillet - Les ancêtres du violon et du violoncelle, 1901,T2.djvu/259

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(Bohème), vers 1750. Lutherie ordinaire, voûtes élevées[1].

Reber (Pancratus). — Dusseldorff, 1716 :

Reichel (Johann-Gottefried). — Absam, vers 1680. Étiquette imprimée en romain.

Johann Gollefried Reichel
arfunden von Jacob Stainer in Apsam

Remenyi. — Buda-Pesth. Luthier contemporain. Bonne facture.

Reichel (Johann-Conrad). — Neukirchen, xviiie siècle.

Reichers (Auguste). — Berlin, xixe siècle. Élève de Bausch, de Leipzig. Facture soignée. Il était le luthier du grand violoniste Joachim et fournisseur de l’École royale supérieure de musique, à Berlin.

Riess. — Bamberg, 1740-1760 environ. Imitateur assez heureux de Stainer.

Roisman (Johannes). — Breslau, 1680. Auteur d’un violon en écaille, qui se trouve au musée instrumental du Conservatoire de musique, à Paris[2].

Roth (Christian). — Augsbourg, xviie siècle.

Roth (Johann). — Darmstadt, 1675.

Rubrecht. — Vienne, 1750. Très habile réparateur.

Ruppert (Frantz). — Erfurt, xviiie siècle. Modèle plat, lutherie inférieure. Grosse sonorité.

Sainpra (Jacques). — Berlin, xviie siècle. Connu par une

  1. Hart cite aussi un Johannes Rauch, sans indiquer la ville où il travaillait vers 1742. C’esl probablement celui de Breslau ou de Wurtzbourg.
  2. N° 5. Catal. 1884.