Page:Haraucourt - L’Âme nue, 1885.djvu/277

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


262
LA VIE INTÉRIEURE.

 
Alors j’ai dit à ma harde
De me consoler un peu :
J’ai sali la femme et Dieu.
— Et mon rêve me regarde !