Page:Helvétius - Œuvres complètes d’Helvétius, tome 13.djvu/249

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tête, et répandoit ses eaux bienfaisantes ; faites-en autant. Vous jouirez en paix et en secret de votre triomphe. Hélas ! vous seriez de notre académie, avec M. Saurin, sans le malheureux conseil qu’on vous donna de demander un privilege. Je ne m’en consolerai jamais. Enfin, mon cher philosophe, si vous n’êtes pas mon confrere dans une compagnie qui avoit besoin de vous, soyez mon confrere dans le petit nombre des élus qui marchent sur le serpent et sur le basilic. Adieu. L’amitié est la consolation de ceux qui se trouvent accablés par les sots et par les méchants.

Par Paris, 11 mai.
FIN DU TOME TREIZIEME.